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20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 18:50

 

Capture

 

Abou Dhabi, une forteresse ocre. L’écocité de MASDAR voulait être la capitale EAU des énergies renouvelables. Le projet a été lancé en 2006. Masdar devait devenir à échéance 2016 la première cité au monde zero carbone, zero déchet, zero voiture de 40 000 habitants sur 700 hectares.

Des ruelles piétonnes rafraîchies par un brumisateur géant, des places surplombées par des panneaux solaires, en plein désert de l’émirat. Un décor signé Norman Foster mêlant innovation high tech et architecture arabe traditionnelle. Le tout pour un coût de 22 milliards de dollars sur fonds d’état. Mais la crise est aussi passée par cette ville du futur et la Silicon Valley des technologies vertes a du plomb dans l’aile.

 

Son achèvement est repoussé à 2025 et ses prétentions revues à la baisse.

Les promoteurs ne s’y bousculent plus malgré le statut de zone franche octroyé. On se passera de la plate-forme sur laquelle devait être érigée toute la ville reléguant les transports en sous-sol. Idem pour les voiturettes électriques à guidage magnétique. Et on veillera à ce que les rues de Masdar soient simplement « favorables aux piétons ».

 

On ne parle plus enfin de couvrir tous les bâtiments de la ville de panneaux photovoltaïques afin de les rendre autosuffisants en électricité : les solutions retenues seront plus académiques. Pourtant Masdar existe bel et bien et le site est un laboratoire grandeur nature des énergies renouvelables. 200 chercheurs y vivent, y travaillent aux projets d’un futur urbain qui connaîtront encore sans doute bien des ajustements avant de devenir réalité. La ville de demain est aujourd’hui une rose des sables.

 

Pour découvrir Masdar ou pour tout projet d’accompagnement de vos réunions professionnelles, missions thématiques et urbatours, contacter :

Roch GUILABERT ou Anne LE CALVE au 01 55 20 23 83.

 

Pour tous renseignements, informations complémentaires >     mwi-picto

 

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20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 10:41

 STMS

 

La Fédération Française de Tennis vient de déléguer à COVOS BAXON le soin d’organiser le 12e Congrès Mondial de la Society for Tennis Medicine and Science (STMS), les 10/12 novembre prochain à Paris.

C’est la première fois, depuis la création de la STMS, que la FFT se voit désignée pour mener à bien, en partenariat, la tenue de cette réunion de prestige conviant les professionnels de santé attachés aux différentes fédérations nationales et internationales du monde du tennis.

 

Ce Congrès constituera une exceptionnelle opportunité de partager les connaissances les plus abouties dans le domaine de la  médecine du tennis et les avancées scientifiques les plus récentes et permettra d’échanger entre professionnels du monde entier portant tous le même intérêt aux pathologies liées à la pratique du tennis.

 

Conformément à la tradition, le 12e Congrès STMS associera un programme scientifique de haut niveau, élaboré par le Comité d’Organisation, à des ateliers permettant aux participants de se former à de nouvelles pratiques ou à l’utilisation de matériels spécifiques. La maîtrise et l’expérience de COVOS BAXON dans l’organisation et le financement de manifestations en relation avec la médecine du tennis sont reconnues et éprouvées depuis longtemps. La société a dirigé notamment à partir des années 90 plusieurs éditions de la Conférence Médecine & Tennis tenue en marge des Internationaux de France de Roland Garros.

Pour tous renseignements, informations complémentaires et participation >    mwi-picto

Dr Patrick ESPINOSA – Tel : 01 55 20 23 89

Catherine MELIN- Tel : 01 55 20 23 71

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18 avril 2011 1 18 /04 /avril /2011 19:13

Incentive 2

 

Les commentaires vont bon train sur le nouvel article L. 242-1-4 du Code de la Sécurité Sociale qui soumet à taxation les sommes ou avantages alloués à un salarié par une personne autre que l’employeur à l’occasion d’une activité accomplie dans son propre intérêt.

Il n’est pas certain que ces nouvelles dispositions aient été bien comprises et nul doute que la rédaction du texte légal soit l’unique responsable des quelques malentendus qui surgissent quatre mois plus tard.

 

Le voyage incentive, comme son nom l’indique, est destiné à inciter un relais commercial, un revendeur, un salarié à faire encore mieux la prochaine fois en le gratifiant aujourd’hui d’une récompense ou d’un bonus. Rien à voir, contrairement à ce que l’on peut lire, avec les cadeaux d’affaires, objets d’une réglementation propre, destinés à huiler les relations entre partenaires commerciaux, perpétuant en cela comme une sorte de tradition sur l’efficacité de laquelle on peut être très légitimement sceptique. Il n’y a aucune civilité, aucune convenance, aucune urbanité dans la relation incentive. Tout le monde est intéressé  et chacun le sait.

 

L’article 21 de la LFSS du 20 décembre 2010 à l’origine du nouvel article L. 242-1-4 du CSS n’évoque aucunement le cadeau d’affaires et la phraséologie utilisée est d’ailleurs un peu plus subtile. Dans cette affaire, désormais du domaine de la loi, il n’est pas sûr que les différents professionnels du secteur aient intérêt à se désolidariser les uns des autres. Ce qu’il convient de défendre, en revanche, c’est l’économie, l’activité économique, les vertus de l’échange dans un climat serein.

 

 Enfin, l’article L. 242-1-4 prévoit qu’un décret sera adopté pour en fixer les modalités d’application qui sera suivi d’un arrêté du ministre compétent, celui chargé de la sécurité sociale. La circulaire réclamée par certains sera pour après, comme il est d’usage, une fois que tout sera calé dans les grandes lignes et que l’administration éprouvera le besoin de préciser ses intentions.

 

 Entre-temps et au-delà, nous recommandons de continuer de travailler en intégrant simplement les contingences supplémentaires introduites par les nouveaux textes.

Allez, pendant les travaux, les ventes continuent …

 

Roch GUILABERT  > Ou pour toute information complémentaire       mwi-picto

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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 16:14

 berlin 2

 

Tacheles, Liebig 14, les squats célèbres de Berlin, repaires des autonomes et des alternatifs, disparaissent un à un, victimes de la politique de régénération urbaine de la municipalité et de la hausse des loyers.

Et Berlin séduit de plus en plus les touristes. Son maire, Klaus Wowereit,  prétend même qu’elle est la capitale la plus sexy d’Europe. Les investisseurs s’y précipitent et les hôtels y jouent des coudes.

Du coup, la crainte de voir la ville bohême se muer en ville bourgeoise saisit les inconditionnels ou les nostalgiques d’une ville canaille sans doute davantage fantasmée que vécue. Berlin perdrait-elle de son charme, délaisserait-elle son côté glamour sulfureux en devenant plus riche ?

Peut-être. D’une certaine manière.

Mais rien n’enlèvera à Berlin sa richesse créative qui l’empêchera toujours de rentrer tout à fait dans le rang. Les touristes mais aussi les entreprises veulent plus que jamais aller à Berlin, pour s’y installer ou le temps d’une réunion ou d’un congrès.

Pour les besoins et à la demande de ses clients, Covos Baxon se rendra plusieurs fois à Berlin en 2011 et 2012. Pour leur permettre d’y travailler ou d’y flâner. Alors.

 

Pour tout renseignement Mice ou sur les Parcours urbains Berlin signés Covos Baxon, contacter Roch GUILABERT – Tel : 01 55 20 23 79.

mwi-picto> Ou pour toute information complémentaire

 

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 12:48

congres PP

 

Du 18 au 20 mars 2011, à Monaco,  COVOS BAXON a assuré la maîtrise d’œuvre du 28e Congrès du Groupe PLUS PHARMACIE, avec  la participation de plus de 600 Pharmaciens.

Qui avait pour thème : « Profession Pharmacien : éthique & performance d’enseigne ». Après avoir généreusement souligné la nécessaire évolution de la profession et l’adjonction aux missions obligatoires du pharmacien de « missions avancées », en application et en vertu de la loi HPST du 21 juillet 2009, l’édition 2011 a pu témoigner de l’ambition du groupement dans le confort d’une enseigne désormais parfaitement installée et de la volonté de ses dirigeants de s’inscrire dans le « mode Europe ».

Nous relaierons dans nos colonnes les actes de ce Congrès.

 

 

Roch Guilabert – Tel : 01 45 20 23 79

mwi-picto> Ou pour toute information complémentaire

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9 mars 2011 3 09 /03 /mars /2011 13:34

ETAU (2)

 

En ce début d’année, la loi n° 2010-1594 du 20 décembre 2010  dite « de financement de la sécurité sociale pour 2011 » vient, par son article 21, troubler les esprits. Tout comme la loi de finances pour 2011, elle a été adoptée dans une optique de réduction des déficits publics. Elle contient nombre de mesures de réduction de « niches sociales » ( augmentation des prélèvements sur les stocks-options ou les retraites chapeaux …..) et des mesures dites complémentaires poursuivant le même objectif parmi lesquelles l’assujettissement à cotisations des rémunérations versées par certaines entreprises à des salariés d’autres entreprises.

 Cet article 21  de la loi LFSS crée à l’occasion un nouvel article du Code de la Sécurité Sociale, un de plus, l’article L. 242-1-4. En vertu de cette disposition, désormais, toute somme ou avantage alloué par une personne n’ayant pas la qualité d’employeur en contrepartie d’une activité accomplie dans l’intérêt de celle-ci, est assimilée à une rémunération au sens de l’article L. 242-1 du Code de la Sécurité Sociale. Voilà pour le principe.

 Lequel souffre immédiatement une entorse : le cas où le salarié bénéficiaire exerce une activité commerciale  ou en lien direct  avec la clientèle pour laquelle il est d’usage qu’une personne tierce à l’employeur alloue des sommes ou avantages au salarié au titre de cette activité. Dans cette hypothèse, qui mériterait sans doute quelques précisions, les cotisations des assurances sociales, d’allocations familiales et d’accidents du travail et les contributions sociales dues sur ces rémunérations sont acquittées sous la forme d’un versement libératoire  à la charge du payeur tiers.

 Ce versement est égal à 20%  de la part de ces rémunérations qui excède pour l’année considérée 15% du SMIC ( soit 204€, valeur en 2011 ). En-deçà, aucune cotisation n’est due.

Mais lorsque ces rémunérations annuelles excèdent le SMIC, la part supérieure à ce plafond est assujettie à toutes les cotisations et contributions d’origine légale ou conventionnelle.

Toutefois, si le tiers appartient au même groupe que l’employeur, au sens de l’article L. 2331-1 du Code du Travail, les avantages versés sont soumis aux cotisations et contributions de droit commun, et ce dès le premier euro. Suivent d’autres dispositions secondaires et la promesse d’un décret d’application  complété par un arrêté ministériel visant la répartition des sommes recouvrées.

 Quelques professionnels organisateurs de voyages incentive  se sont emparés de cette loi pour y aller de leurs commentaires très alarmistes prédisant la mort des agences, ni plus ni moins. La démarche est classique. En même temps, les organes représentatifs de la profession ont semblé  faire preuve d’une relative indifférence allant jusqu’à évoquer la quantité impressionnante en France de lois non suivies d’effet parce que privées de décrets d’application. La question n’avait guère soulevé de passions parmi les parlementaires lors des discussions de cette loi à la fin de l’année 2010. L’adoption de l’article 21 avait d’ailleurs recueilli un assez large consensus.

 

Seul ou presque, le Député des Bouches-du-Rhône, Monsieur Dominique TIAN, auteur de trois amendements rejetés, s’est élevé contre cette disposition. Il a rappelé que les salariés bénéficiaires concernés par les gratifications dont le traitement social était remis en cause étaient essentiellement des commerciaux travaillant dans des grandes surfaces, des parfumeries, des compagnies aériennes, des agences de tourisme, des hôtels, des entreprises de télévente, des concessionnaires automobiles et des entreprises du secteur de la distribution. L’idée de taxer les gratifications de ces milliers de salariés n’est pas nouvelle et a été évoquée à plusieurs reprises lors des précédents PLFSS sur demande, récurrente, de l’ URSSAF. Celle-ci n’ayant jusqu’alors jamais obtenu gain de cause devant les tribunaux, faute d’un fondement juridique à l’appui de ses nombreuses requêtes. Un jurisprudence constante de la Cour de Cassation indiquant que, en l’absence de lien de subordination entre le tiers et le salarié, l’URSSAF n’était pas fondée dans ses prétentions.

 

 L’URSSAF disposera désormais d’une base légale : l’article 21 de la loi du 20 décembre 2010.

Cette loi portera-t-elle un coup fatal au secteur des produits de motivation en général et des voyages incentive en particulier ?

 

Sous l’emprise croissante d’une réglementation, d’une fiscalisation et d’une socialisation budgétivores, le marché de l’incentive pourra survivre sous au moins quatre conditions :

. décliner de nouveaux produits, plus adaptés à une demande plus modeste par la forçe  des choses,

. suggérer de nouveaux formats d’opérations, plus réduits,

. initier des mécanismes resserrés de motivation, plus exigeants en terme de résultats,

. négocier des prix compétitifs auprès des fournisseurs et sous-traitants.

 

Dans ces circonstances, la destination France sera sans doute privilégiée pour être revisitée. Un budget de 1 125 € par personne, hors taxe nouvelle de base, contraindra les ambitions de franchir les frontières. Quoique.

 

Il serait fort intéressant de confronter les opinions et les idées sur la question. Professionnels et clients confondus. Et nous proposons de lancer dès aujourd’hui via ce blog, sans attendre la publication de décrets qui ne porteront que sur les modalités d’une disposition législative furtivement votée mais bien réelle, les Assises virtuelles de l’incentive.

 

A vos claviers  mwi-picto

 

 Roch GUILABERT

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 18:52

 

Masseur 1

 

Le 21 mai 2011, COVOS BAXON assurera pour le compte de l’Ordre National des Masseurs Kinésithérapeutes l’organisation  de la 1ère Journée Pratique AVC. Cet événement fera le point sur les avancées dans la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux et réunira quelques 400 professionnels parisiens. Cette opération pourrait être la première d’une série concernant d’autres domaines thérapeutiques que la neurologie.

Il y a quelques temps, l’Ordre avait déjà eu l’occasion de souligner le rôle potentiel des masseurs-kinésithérapeutes dans la détection des mélanomes et suggéré la mise en place de partenariats inédits avec les dermatologues. Exemple concret, cette initiative illustre assez bien et avec ambition les axes prioritaires porteurs en France de la réforme du système de santé. Tout y est : prévention, dépistage, transversalité des professions et des spécialités.

D’évidence, les frontières bougent.

 

Roch Guilabert – Tel : 01 45 20 23 79

mwi-picto> Ou pour toute information complémentaire

 

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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 21:52

NOVELLI

 

Le Club du 5, rue Frédéric Bastiat accueillera le mercredi 23 mars 2011 à 18h45, Monsieur Hervé NOVELLI, Député d’Indre et Loire, Maire de Richelieu, Secrétaire Général Adjoint de l’UMP qui interviendra sur le thème : « L’action gouvernementale des libéraux en France ces dix dernières années ». Pour tous renseignements sur l’inscription à cette conférence  >     Mail : contact@clubfredericbastiat.fr 

Accueil Club du 5,rue Frédéric Bastiat.  www.clubfredericbastiat.fr

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3 février 2011 4 03 /02 /février /2011 20:19

URBA

 

En ouverture du Congrès SANTE AU CŒUR DE LA CITE (www.santeaucoeurdelacite.com) des 22 et 23 octobre 2010  à Boulogne-Billancourt, le professeur Jean-Marie LE PARC, en charge du Service Rhumatologie de l’Hôpital Ambroise Paré et co-président de l’événement, soulignait :

 « Le ressenti urbain des patients pour un praticien est particulièrement signifiant dans la mesure où il alerte sur les défaillances de la vie en ville, notamment sur les problèmes de mobilité des seniors  et des très seniors et les pratiques de mobilité des plus jeunes qui créent d’assez nombreux problèmes de cohabitation. Les informations recueillies par les médecins peuvent être sans doute précieuses et mises à disposition des architectes, des urbanistes et des municipalités dans le cadre, par exemple, d’ateliers de réflexion à expérimenter ».

 

Voici donc l’acte de naissance des Ateliers SACC. Qui pourraient se constituer sans formalisme précis dès lors qu’une opération de rénovation ou de régénération urbaine est envisagée et à l’initiative des autorités locales.

Par définition, la ville est transversale et plus aucun projet urbain ne peut sérieusement se concevoir sans intégrer la dimension santé ménagée, préservée, pérennisée. Quoi de plus évident que de consulter les médecins en charge des urgences pour l’aménagement des berges d’un fleuve ou la création d’un carrefour ne serait-ce que pour identifier les facteurs accidentogènes du projet ? Les médecins sont d’un apport considérable sur l’appréciation et l’analyse des modes de déplacement et des modes de consommation modernes.

Combien de piétons renversés par un véhicule alors qu’ils consultaient leur portable ?

Comment contenir le sentiment de liberté excessive conféré par la maîtrise supposée d’une paire de rollers ou d’un vélo ?

Comment l’angoisse éprouvée par la personne âgée crée-t-elle l’accident ?

Comment être toujours plus à l’écoute des lieux et créer des ambiances positives ?

Il faut que les professionnels de l’urbanisme entendent et prennent le temps d’écouter les professionnels de santé, témoins essentiels du chaos de nos villes. A la clé de ces échanges, au sein des Ateliers SACC, des solutions inédites sans doute permettant à chacun, en toute sérénité, de mieux vivre sa ville.

 

Didier Turcan - Pdt Covos Baxon - valauval

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 13:22

Ecole

 

Le ministre de l’Education nationale, Luc Chatel, lance un plan pour les sciences à l’école afin de lutter contre « l’innumérisme » des petits français, mal qui est au calcul ce que l’illettrisme est à la lecture.

 Diverses expériences ont cours par ailleurs, à l’initiative de jeunes enseignants, qui redécouvrent les vertus de la maïeutique. Illustrant ainsi cette évidence qu’on ne répond bien qu’aux questions qu’on se pose réellement.

Les comparaisons scolaires avec d’autres pays n’étant pas très flatteuses convainquent enfin les responsables de reprendre en mains la situation. Le monde évolue vite, les méthodes d’enseignement doivent sans doute s’adapter. Lecture, mathématiques, histoire …..

Et la santé ?

Une réforme du système de santé en France est en marche, fondée sur la prévention et l’éducation des patients. Des patients avertis, c’est l’enjeu, seront moins malades et coûteront moins cher à la collectivité. Cette réforme procède de l’idée que la santé est désormais une compétence partagée. Alors, soyons logiques, allons plus loin et apprenons la santé aux enfants et pas seulement les seuls rudiments d’hygiène de base.

L’école prépare les bons citoyens. Donnons-lui pour mission de préparer des citoyens bien portants le plus longtemps possible. Il est concevable de parler de la santé et de son corollaire, la maladie, sans fabriquer des générations d’angoissés comme on l’a fait jusqu’ici à force justement de n’en pas parler ou d’en parler mal. A condition bien sûr d’imaginer en début de scolarité des programmes simples, allégés allant de l’hygiène de vie aux immenses espoirs portés par la science des hommes.

Et de banaliser la santé. Avant-hier, j’avais morale. Hier, j’avais instruction civique. Aujourd’hui, je vais toujours à l’école et demain, j’ai santé.

 

 

Didier TURCAN – Pdt Covos Baxon - valauval

 

 

 

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